jeudi 7 février 2013

Dernières nouvelles, situation du parc

Dernières nouvelles: 

A la suite d’informations parues dans le journal local et des rumeurs colportées par des personnes mal intentionnées, nous nous devons de clarifier, une bonne fois pour toutes, la situation actuelle. Cela évitera peut être à diverses personnes de parler à tort et à travers, de porter des jugements sans rien connaître de ce dossier qui reste toujours aussi sensible.

Dire que 10 personnes ont démissionné de l'association est totalement faux, seul un élu qui soutenait la procédure inamicale des trois maires a démissionné de notre association qui, elle, combattait leurs démarches. Sage décision de sa part. Ecrire qu'une personne a été nommée comme médiateur entre l'association et les propriétaires du château est encore une information non fondée. La dernière proposition des propriétaires faite aux deux co-présidents, pour recevoir prochainement l'association au château de Bridoire, démontre que le dialogue existe bien sans avoir besoin d'intermédiaire.

La situation du parc:

Pour certains le parc n'appartient à personne, la société propriétaire est fantôme, le gérant de cette société n'existe plus.

Nous pouvons affirmer, preuves à l'appui, que cette société familiale est une société française depuis l'origine. Elle a été parfaitement déclarée en France. Aujourd'hui, suite au décès de son gérant en 2007, un nouveau gérant a été désigné statutairement. Le siège social de cette société a changé à plusieurs reprises au fil des pérégrinations de son gérant. Aujourd'hui il est parfaitement établi. Avant son décès en Belgique, le gérant, brillant avocat international qui fut le conseiller de plusieurs chefs d'Etat, a pris des dispositions testamentaires, c'est une évidence, afin que son patrimoine ne soit pas dispersé. Il en résulte que tout est réglé. Le gérant, qui lui a légalement succédé aujourd'hui, n'a plus aucune initiative à prendre. Inutile de le contacter et de l'ennuyer. Le parc reste donc un bien privé qui appartient toujours à une société, il n'est pas à vendre, ne le sera peut être jamais.

Nous pouvons alors comprendre les inquiétudes légitimes des propriétaires du château qui ont toujours expliqué que sans l'acquisition prochaine du parc il leur serait difficile de développer leur projet touristique et qu’ils pourraient être amenés à renoncer. Nous partageons leur angoisse. L'avenir du château reste donc, pour nous, encore bien incertain. Notre "aventure associative Bridoire", que nous relatons dans un livre dont nous parlerons prochainement, risque d'être une histoire sans fin.