samedi 14 juin 2014

Nouvelle procédure judiciaire à Bridoire, la vingt quatrième...!

Le promoteur-viticulteur de Monbazillac, candidat non retenu lors de la vente du château en 2011, conteste le choix des propriétaires actuels fait par l'Etat. Débouté en première instance, il fait appel de cette décision devant le tribunal administratif de Bordeaux.

Depuis 2011, les propriétaires actuels se sont appropriés, sans aucune autorisation, des terres autour du château ne leur appartenant pas. Ils reconnaissent être en totale illégalité et ne pas pouvoir tenir ainsi plus d'un an ou deux. Ils apportent, de ce fait, un argument de poids inespéré à la partie adverse. L'administration n'aurait-elle, finalement, pas fait le bon choix? Le tribunal va devoir statuer sur ce nouvel épisode judiciaire... Bridoire est maudit!

9 commentaires:

  1. Périgourdin, de passage une fois de plus à Bridoire depuis sa ré-ouverture. Nous avons profité avec nos enfants de ce cadre merveilleux et de ses activités simples mais généreuses. Alors à la lecture de cet article mon sang ne fait qu'un tour. Le mot même de promoteur donne froid dans le dos, je fais donc appelle par la prière au bienheureux P. C. de Foucauld afin qu'il vienne en aide à cette demeure et à ceux qui lui veulent du bien.

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    1. charles de foucauld ils ne veulent pas que laisser le chateau en paie prier pour lui

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  2. Amoureuse du Périgord, j'ai découvert Bridoire avec mon petit-fils en avril, avec cette profusion de jeux anciens et ces magnifiques pièces restaurées. Pourquoi le vieux reportage "des racines et des ailes" à nouveau diffusé ces jours-ci n'a-t-il pas été actualisé ? Il y a tant de changement depuis. Le propriétaire a le mérite de restaurer de beaux monuments, mais ne met jamais en avant le travail des bénévoles (et de l'Association),comme lors de ses précédentes restaurations. C'est ce qu'on appelle "tirer la couverture à soi". Un manque de reconnaissance pour ceux qui n'ont pas l'argent, mais donnent leur passion et leur sueur. Bravo à eux. Françoise

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    1. QUE DES PROMESSES JAMAIS TENUES

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    2. il y a ceux qui font le travail et ceux qui les regardent et ceux qui en profitent et croie moi ils sont nombreux certain tirent des profits

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    3. voila l ambiance n est pas la aux nocturne avec les gents des cuisine

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  3. Vous n'êtes pas la seule a avoir eu ce ressenti. Ce reportage qui date de plus de deux ans ne correspond plus du tout à la situation actuelle. Fini le temps de l'euphorie et de la mise en scène, les propriétaires en sont à envisager la fin de leur aventure d'ici un an ou deux.
    En effet, pour donner un avenir pérenne au château, en 2011, deux conditions étaient à remplir:
    D'abord trouver des repreneurs qui aient une certaine expérience en matière de restauration de patrimoine
    Mais aussi, vu le contexte, trouver des repreneurs diplomates qui s'associent aux citoyens bénévoles, mobilisés pendant 23 ans, pour profiter de leur expérience, de leurs relations, afin de résoudre le problème crucial du parc, non exproprié, sans lequel aucun projet n'est viable à long terme.
    Or si les propriétaires actuels sont bien des professionnels de la restauration de château, ils se sont empressés, dès qu'ils ont eu les clés de leur château, de tourner le dos à l'association réclamant même sa suppression. Sûrs d'eux, ils se sont coupés d'un appui essentiel pour comprendre la situation et n'ont donné aucun crédit à nos mises en garde. C'est ainsi que l'association, qui suit toujours ce dossier, a des informations importantes sur le devenir du parc alors que nos propriétaires, qui nous ont exclu du paysage, les ignorent totalement. C'est pour le moins paradoxal, mais c'est ainsi. Il en résulte qu'ils ont commis plusieurs graves erreurs dont l'occupation illégale des terres ne leur appartenant (parking, entrée, aire de pique nique). Tôt ou tard la propriétaire du parc, dont ils niaient l'existence, va faire valoir ses droits concernant sa propriété privée, occupée sans autorisation depuis plus de deux ans déjà. La facture pourrait être salée. Elle est habile et rusée, les trois maires qui l'ont provoquée l'ont compris tardivement!
    L'inquiétude des propriétaires de Bridoire est alors bien légitime, ils reconnaissent que leur situation est devenu intenable. De plus ils se sentent bien seuls n'ayant plus le soutien ni de l'association, ni des élus, ni de l'administration pour qui le respect de la légalité est incontournable. C'est un choix qu'ils ont fait...
    Pour nous Bridoire n'est pas encore sorti du tunnel.
    C. L. coprésident de l'association

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  4. Le coprésident de l'association, est a l'origine de tous les coups tourdus autour du château du Bridoire.

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